PEA gestion libre ou pilotée (ou conseillée) : que choisir selon votre profil ?
Le choix entre gestion libre, gestion pilotée ou gestion conseillée dépend de votre implication, de votre niveau d’expertise et de votre tolérance au risque.
En 2025, les différences se jouent principalement sur les frais annuels, la transparence des allocations et les performances obtenues.
Ramify, avec sa gestion conseillée, propose une offre différenciante qui combine les avantages de la gestion déléguée avec un niveau d’exigence et de performance rarement atteint dans les offres pilotées traditionnelles.
Qu’est-ce que la gestion sous mandat ?
Déléguer la gestion de son plan d’épargne en actions (PEA) à un professionnel qui définit, suit et ajuste votre stratégie selon votre profil de risque.
Deux formes existent : la gestion pilotée (arbitrages automatiques) et la gestion conseillée (arbitrages validés par l’investisseur).
PEA en gestion pilotée : c’est quoi ?
Un PEA en gestion pilotée consiste à confier totalement la gestion de votre portefeuille à un professionnel.
Après avoir défini votre profil — prudent, équilibré ou dynamique —, le gérant décide des placements et des rééquilibrages, sans intervention de votre part.
Les investissements se font via :
- Des OPCVM (fonds d’investissement traditionnels, souvent plus coûteux).
- Des ETF (trackers indiciels à frais réduits), chez certains acteurs plus récents comme Yomoni ou Ramify.
Ce mode de gestion s’accompagne de frais de mandat (1 % à 1,6 %/an), auxquels s’ajoutent les frais internes des supports.
Il s’adresse aux investisseurs souhaitant déléguer intégralement la gestion de leur épargne tout en profitant de la fiscalité avantageuse du PEA.
Qu’est-ce qu’un PEA en gestion conseillée ? (Ramify)
La gestion conseillée fonctionne selon le même principe que la gestion pilotée, mais vous validez les arbitrages proposés par l’équipe de gestion avant leur exécution.
Chez Ramify, cette approche combine expertise professionnelle et autonomie, en s’appuyant sur une allocation 100 % ETF adaptée à votre profil de risque.
Les portefeuilles sont rééquilibrés régulièrement, selon les conditions de marché, avec une transparence totale sur les choix et les frais.
Voici les caractéristiques clés du PEA Ramify :
- Stratégie conçue par des experts en allocation d’actifs.
- Aucun frais d’entrée, de versement ou d’arbitrage.
- Frais de gestion de 1 % à 1,3 % (dégressifs au-delà de 100 000 €).
- Performance nette : +27,12 % en 2024 (profil 100 % actions, risque 10/10).
- Accompagnement humain pour un suivi patrimonial personnalisé.
La gestion conseillée Ramify offre ainsi une délégation encadrée : vous bénéficiez d’une stratégie construite par des professionnels tout en gardant la main sur vos décisions.
Qu’est-ce qu’un PEA en gestion libre ?
Le PEA en gestion libre s’adresse aux investisseurs autonomes, capables de gérer eux-mêmes leur portefeuille, de sélectionner des titres (actions ou ETF), et de réaliser les arbitrages en fonction de leur stratégie personnelle.
À ce titre, il fonctionne de manière proche d’un compte-titres ordinaire (CTO), mais dans un cadre avec des avantages fiscaux. L’investisseur y garde une totale liberté d’exécution tout en profitant des exonérations d’impôt sur les plus-values après cinq ans.
Cette approche nécessite :
- Une bonne compréhension des marchés financiers.
- Une discipline rigoureuse dans la gestion du portefeuille.
- Du temps pour suivre l’actualité, analyser les performances et ajuster l’allocation.
Elle permet en revanche d’optimiser au maximum les frais annuels, surtout si vous optez pour un courtier comme XTB ou Trade Republic, qui proposent des frais de courtage quasi nuls dans certaines configurations.
Mais cette liberté a un prix :
- Le risque d’erreur est élevé, notamment en période de volatilité.
- Les performances dépendent uniquement de vos décisions.
- Il est facile de tomber dans le travers du market timing ou du stock-picking émotionnel, avec des conséquences parfois durables sur la performance.
C’est une solution adaptée aux investisseurs expérimentés, ou aux profils de gestion qui suivent une stratégie passive simple (ex : DCA mensuel sur un ETF World). Pour les autres, la gestion conseillée ou pilotée reste souvent un choix plus judicieux pour éviter les erreurs et bénéficier d’une vraie stratégie long terme.
PEA gestion libre ou pilotée (ou conseillée) : que choisir selon votre profil ?
Le choix entre un PEA en gestion libre, pilotée ou conseillée dépend de votre disponibilité, de vos compétences en investissement, et de vos objectifs.
Voici un comparatif synthétique des trois modes de gestion selon 5 critères essentiels :
Quels critères pour choisir le meilleur PEA en gestion pilotée ou conseillée ?
Choisir un PEA en gestion pilotée ou conseillée ne se limite pas à comparer des frais ou une interface. C’est un choix stratégique qui engage sur plusieurs années. Au-delà du contrat, c’est la qualité de la gestion et la transparence de l’approche qui doivent guider votre décision.
Quel que soit votre choix de PEA, la fiscalité du PEA reste avantageuse (exonération d’impôt sur le revenu au bout de 5 ans, uniquement prélèvements sociaux dus sur vos éventuelles plus-values) et est limité par un plafond de versement réglementaire de 150 000 €
1. Une performance nette de frais et comparable entre profils de risque
La performance historique reste le critère central pour évaluer la qualité d’un gérant ou d’une stratégie pilotée.
En gestion libre, vos résultats dépendent de vos propres décisions d’investissement. En gestion pilotée ou conseillée, ils dépendent de la pertinence des choix du gérant, de son processus d’allocation et de sa discipline de mise en œuvre.
Une bonne évaluation repose sur des performances nettes de tous frais (frais de mandat et frais des supports d’investissement) et présentées sur plusieurs années consécutives. Ces chiffres doivent toujours être accompagnés du niveau de risque du portefeuille car un rendement élevé n’a de sens que rapporté à la volatilité supportée.
Plusieurs points de vigilance s’imposent avant de juger un mandat :
- Comparer uniquement des profils de risque équivalents (par exemple, ne pas opposer un mandat “prudent” à un mandat “dynamique”).
- Vérifier la période de référence : certaines plateformes mettent en avant des performances annualisées ou brutes qui peuvent être trompeuses.
- S’assurer que le gérant publie son historique complet : l’absence de données publiques rend impossible toute comparaison sérieuse.
- Observer la régularité des rendements et la maîtrise du risque, notamment via des indicateurs comme la volatilité ou le drawdown maximal (baisse maximale enregistrée).
Enfin, la performance doit toujours être analysée à la lumière des frais annuels appliqués. Mieux vaut un mandat facturé 1,3 % par an générant 15 % de performance qu’un mandat à 0,1 % plafonnant à 5 % : c’est la performance nette de frais qui importe réellement.
À titre d’exemple, Ramify affiche une performance nette de +27,12 % en 2024 (profil 100 % actions, risque 10/10), issue d’une stratégie éprouvée sur assurance-vie et PER depuis 2021.
Ce type d’historique public et transparent constitue un repère précieux pour anticiper la qualité future d’une gestion, même si, comme toujours, les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
2. Des frais de mandat et de gestion compétitifs
Dans une gestion pilotée ou conseillée, plusieurs niveaux de frais s’ajoutent :
- Les frais de mandat : ils rémunèrent le gestionnaire ou l’équipe de gestion (souvent entre 1 % et 1,4 %).
- Les frais des supports : entre 0,2 % pour les ETF et jusqu’à 2 % pour des OPCVM actifs.
- Parfois des frais d’arbitrage ou de performance, selon les contrats.
Sur 10 ans, une différence de 0,5 % par an sur un capital de 50 000 € représente une perte potentielle de plusieurs milliers d’euros d’intérêts composés.
C’est pourquoi les gestions à base d’ETF, comme chez Ramify ou Yomoni, sont souvent plus intéressantes :
- Structure de frais transparente et prévisible.
- Absence de frais cachés (entrée, sortie, arbitrage).
- Alignement entre frais facturés et performance obtenue.
En 2025, un contrat compétitif ne doit jamais dépasser 1,4 % de frais globaux annuels, tous coûts compris.
À l’inverse, les banques traditionnelles continuent souvent d’appliquer des droits de garde ou des frais d’inactivité, rendant leurs PEA moins compétitifs pour les épargnants actifs.
Ce différentiel de coûts peut représenter plusieurs centaines d’euros sur dix ans, et donc un impact significatif sur la performance nette.
À lire aussi : Frais PEA : Comparatif et fonctionnement
3. L’accès à un univers d’investissement complet et diversifié
Une bonne gestion sous mandat permet de construire une allocation réellement diversifiée, sans effort pour l’investisseur.
Mais toutes les gestions ne se valent pas :
- Certains contrats pilotés bancaires se limitent à quelques fonds européens.
- Les gestions conseillées construites sur des ETF (comme chez Ramify) permettent une exposition mondiale à moindre coût.
Voici ce qu’un bon PEA délégué doit inclure :
- Une exposition aux grandes zones économiques : Europe, États-Unis, Asie, pays émergents.
- Une répartition par classes d’actifs adaptée au niveau de risque (actions, obligations, parfois liquidités).
- Une diversification sectorielle pour lisser les performances dans le temps.
Les ETF apportent ici un avantage décisif : ils permettent une diversification mondiale dès quelques centaines d’euros, sans dépendre d’un seul gérant actif.
4. Une qualité d’interface et de reporting irréprochable
Même en déléguant la gestion de son PEA, il est essentiel de comprendre ce qui est fait avec son argent.
Une bonne interface doit permettre à l’investisseur de :
- Visualiser la répartition de son portefeuille (par zone géographique, secteur, classe d’actifs).
- Suivre la performance dans le temps, avec des indicateurs simples et lisibles.
- Comprendre les arbitrages réalisés, notamment en période de volatilité.
- Télécharger un historique complet de ses mouvements ou relevés.
Certains acteurs proposent un reporting très visuel et pédagogique, idéal pour suivre sa stratégie sans jargon inutile. C’est le cas de Ramify, qui met à disposition un tableau de bord clair, mis à jour en temps réel, ainsi que des analyses accessibles.
La qualité du reporting est un élément de confiance sur le long terme : un investisseur qui comprend sa stratégie est un investisseur qui reste investi.
5. La compétence et la disponibilité du support client
Un bon support client ne se mesure pas uniquement à sa réactivité, mais aussi à la qualité des réponses apportées, notamment sur des sujets complexes.
Voici les différences constatées entre les acteurs en 2025 :
- Certains courtiers 100 % en ligne ne proposent qu’un support par messagerie, souvent lent et impersonnel.
- D’autres comme Ramify offrent un accompagnement humain basé en France, avec des experts en gestion de patrimoine.
Ce support devient essentiel dans les situations suivantes :
- Transfert de PEA ou changement de courtier.
- Modification du profil de risque.
- Questions sur la fiscalité ou les stratégies patrimoniales associées.
Dans un produit aussi stratégique que le PEA, pouvoir échanger rapidement avec un expert est un vrai différenciateur.
6. Des caractéristiques complémentaires à évaluer
Enfin, certains éléments peuvent faire pencher la balance en fonction de votre situation :
- Montant minimum : certains PEA sont accessibles dès 100 €, d’autres demandent 25 000 à 50 000 € (comme Ramify).
- Versements programmés : très pratiques pour lisser le risque, mais encore rares sur les PEA (présents chez Ramify, Trade Republic).
- Orientation ISR : certains mandats incluent des critères ESG ou des exclusions sectorielles, mais il faut bien comprendre la méthodologie appliquée.
- PEA-PME ou PEA Jeune disponibles : utile pour compléter votre stratégie, mais tous les courtiers ne les proposent pas.
- Localisation du gestionnaire : les acteurs basés en France offrent souvent un meilleur support client, une conformité réglementaire simplifiée, et des documents plus accessibles.
Ces critères sont secondaires, mais ils peuvent faire la différence dans le choix final, notamment pour un investisseur qui cherche à construire une stratégie patrimoniale cohérente et long terme.
À lire aussi : Comment choisir son PEA ? Quels critères prendre en compte ?
Les meilleurs PEA en gestion pilotée et conseillée en 2025
Le choix d’un PEA délégué doit se faire selon votre priorité principale : minimiser les frais de gestion, viser la performance, diversifier largement, intégrer un filtre responsable ou bénéficier de la souplesse d’un PEA assurance.
Les PEA les plus compétitifs sur les frais
Les frais sont le premier levier de performance nette sur le long terme. À structure équivalente, un mandat bas coût prend l’avantage au bout de quelques années de capitalisation.
La sélection retient des modèles de frais structurellement bas et prévisibles. Ramify se distingue par une tarification tout compris et 0 % de frais d’entrée/sortie/arbitrage avec un panier 100 % ETF (coûts implémentés dans la gestion).
Boursorama reste parmi les moins chers des offres bancaires, mais l’addition des frais internes des fonds Amundi rapproche le coût total des 2 %/an.
Le PEA de Fortuneo peut être très compétitif si la performance annuelle est modeste ou négative (puisque pas de frais fixes), mais l’usage d’OPCVM actifs renchérit les frais de supports en toute circonstance.
Les PEA pilotés aux meilleures performances (2023–2024)
La performance doit être analysée nette de tous frais et à niveau de risque comparable (profils dynamiques / 100 % actions).
Le cadrage privilégie les mandats les plus exposés aux actions pour refléter le potentiel du PEA. Ramify ressort leader sur 2023–2024 grâce à une allocation actions mondiale 100 % ETF et des frais serrés, un combo qui booste la performance nette.
Yomoni suit avec une exposition internationale large et une exécution passive disciplinée. ActiveSeed est retenu pour son angle thématique (ETF sectoriels/ISR), moins performant sur la période, mais intéressant pour diversifier les moteurs de performance.
Les meilleurs PEA Assurance (Capitalisation avec fonds euros)
Les PEA assurantiels intéressent les profils qui cherchent plus de souplesse patrimoniale (rente viagère, avances) et une gestion profilée possible, en acceptant un univers de supports centré sur des OPCVM et, le plus souvent, sans fonds euros garantis.
La sélection retient Suravenir pour ses frais de contrat à 0 % et la qualité d’infrastructure (Linxea Avenir PEA ajoute l’atout rare de 2 ETF éligibles PEA pour abaisser les coûts internes).
Meilleurtaux PEA Capi est pertinent pour accéder à des mandats profilés inclus sans surcoût de contrat. Generali (Himalia) est retenu grâce aux profils AllianzGI distribués largement via courtiers.
Vie Plus assume des frais d’enveloppe affichés mais compense par une large architecture ouverte pilotable avec un CGP. Nortia/Oradéa apporte une brique d’ingénierie (options d’arbitrage, multi-gérants) utile pour des besoins spécifiques.
Attention, il n’y a pas de fonds euros garanti sur ces PEA. Il s’agit d’unités de compte avec, au mieux, des poches monétaires pour réduire la volatilité.
Les meilleurs PEA pilotés avec la plus grande diversification géographique
La diversification est jugée sur la couverture par zones, le nombre d’ETF/fonds et la cohérence de l’allocation face au risque ciblé.
Ramify se distingue par une diversification géographique complète et disciplinée, intégrant à la fois des ETF monde, S&P 500 et marchés émergents, le tout calibré selon le profil de risque du client.
Yomoni est retenu pour sa diversification géographique “pure” au sein du PEA, s’appuyant sur plusieurs ETF monde.
Fortuneo apporte une diversification multi-actifs avec des ajustements tactiques gérés par AllianzGI, utile pour lisser la volatilité.
ActiveSeed complète le trio grâce à ses poches thématiques qui multiplient les moteurs de performance sans concentrer le risque sur une zone unique.
Les meilleurs PEA pilotés à orientation “responsable” (ESG)
L’analyse porte sur la clarté de la méthodologie ESG (labels, exclusions, low-carbon), la cohérence des supports et la lisibilité du reporting.
Boursorama coche la case accessibilité ISR avec ticket d’entrée bas et label reconnu, au prix d’une performance 2024 en retrait dans un contexte peu favorable aux indices ESG.
ActiveSeed offre l’option ISR la plus aboutie en PEA (univers 100 % ETF responsables et thématiques vertes) avec une personnalisation par profil de risque.
Goodvest est mentionné en alternative hors PEA pour les épargnants qui veulent maximiser le filtre durable via l’assurance-vie.
Tableau comparatif des 10 meilleurs PEA en gestion pilotée
Comparatif des principales caractéristiques pour positionner chaque offre selon votre priorité (frais, perf, diversification, souplesse).
Notes : les performances « n.d. » ne sont pas disponibles publiquement car dépendant des fonds choisis.
Rappel : Ces classements sont subjectifs et basés sur des données publiques (octobre 2025). Ils ne constituent pas un conseil financier.
Les performances passées des différents mandats de gestion ne préjugent pas des performances futures. Ces mandats de gestion comportent tous un risque de perte en capital.
La performance de Ramify est dérivée de la performance du portefeuille Essential 100 % action (risque de 10/10) réalisée au sein d’une assurance-vie en 2023 et 2024 et disponible dans un PEA depuis 2025 aux mêmes conditions tarifaires.
La méthodologie privilégie les performances publiées nettes, les structures de frais lisibles et la cohérence technique (usage d’ETF, politique d’arbitrage, couverture des zones).
Ramify est positionné comme gestion conseillée (et non pilotée), mais pertinent à comparer côté épargnant car le degré de délégation, la méthode (ETF à bas coûts) et les résultats sont directement concurrents des offres pilotées.
Yomoni est retenu pour sa diversification mondiale disciplinée. Boursorama et Fortuneo illustrent les modèles bancaires low-cost (PEA profilé à frais maîtrisés d’un côté, commission de performance de l’autre).
Les PEA assurance complètent le panorama pour les profils recherchant souplesse juridique et patrimoniale, malgré un univers d’investissement plus restreint.
Conclusion
En 2025, le choix d’un PEA en gestion pilotée ou conseillée dépend avant tout de votre niveau d’implication, de vos objectifs patrimoniaux et de votre tolérance au risque. Les différences entre les acteurs tiennent principalement à la performance nette de frais, à la structure tarifaire, et à la qualité de la gestion proposée.
Les fintechs spécialisées comme Ramify et Yomoni dominent clairement le marché grâce à leur stratégie 100 % ETF, des frais de gestion réduits et une transparence totale sur les portefeuilles.
Ramify, avec sa gestion conseillée performante (+27,12 % en 2024), offre une alternative haut de gamme aux gestions pilotées classiques, tout en conservant une structure de coûts claire (1 à 1,3 % tout inclus) et un accompagnement humain personnalisé.
Les banques en ligne telles que Boursorama ou Fortuneo restent attractives pour les investisseurs recherchant des tickets d’entrée faibles ou des solutions hybrides mêlant gestion libre et pilotée.
En comparaison, les banques traditionnelles peinent encore à rivaliser, tant sur le plan des frais de courtage que des frais de garde, mais aussi sur la souplesse des interfaces et la transparence de la gestion. Leurs offres restent souvent plus rigides, mieux adaptées aux profils patrimoniaux souhaitant un accompagnement historique, mais moins à ceux recherchant autonomie et efficacité.
En revanche, leurs mandats reposant sur des OPCVM actifs entraînent souvent des frais totaux supérieurs à 2 %, ce qui pèse sur la performance à long terme.
Les PEA assurance, proposés par Linxea, Meilleurtaux ou Generali, offrent une souplesse supplémentaire grâce à la possibilité de conversion en rente viagère et d’avances sur contrat, mais ils se limitent à des fonds de capitalisation sans véritable accès aux ETF.
Ils s’adressent davantage aux investisseurs patrimoniaux en quête de diversification globale que de performance pure.
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