Placement sans risque : Quel est le meilleur choix pour investir son argent en 2026 ?

En 2026, les meilleurs placements sans risque les plus pertinents restent les livrets réglementés, les fonds euros, les comptes à terme et les supports prudents à faible volatilité. Ils permettent de sécuriser son capital selon ses besoins et horizons.

Placement Pour qui ? Pour quoi ? Durée de détention habituelle
Placements sans risque
Livrets réglementés (Livret A, LDDS, LEP) Tous les épargnants ; ménages modestes pour le LEP Matelas de sécurité, épargne disponible, exonération d'impôt Flexible
Livret bancaire Épargnants ayant atteint les plafonds réglementés Trésorerie disponible avec rémunération variable Flexible
Compte courant rémunéré Personnes avec forte trésorerie en transit Optimiser l'argent laissé sur le compte courant Flexible
Fonds euros Épargnants prudents souhaitant un rendement stable Sécuriser un capital avec faible risque Flexible
Comptes à terme (CAT) Projets programmés à date fixe Capital garanti, taux fixé à l'avance 1 à 5 ans
Placements avec un faible niveau de risque
Fonds monétaires Gestion fine du cash, attente d'investissement Placement très stable lié aux taux courts Court terme
Obligations court terme / Investment Grade Épargnants prudents acceptant une faible volatilité Rendement supérieur au monétaire avec risque limité 1 à 3 ans
Fonds diversifiés prudents Profils prudents cherchant un peu plus de performance Mélange obligations/actions très modéré 2 à 5 ans
SCPI core Épargnants recherchant revenus potentiels stables Diversification immobilière prudente > 8 ans
Produits structurés défensifs Profils prudents acceptant une protection conditionnelle Rendement potentiellement supérieur avec risque contrôlé 3 à 8 ans

Que signifie vraiment un placement financier sans risque ?

Un placement peut être sans risque sur un critère, mais rarement sur tous. Comprendre les différentes formes de risques est indispensable avant de choisir les produits financiers les plus adaptés à son épargne.

Le risque de perte en capital

Un placement financier sans risque renvoie d’abord à l’absence totale de risque de perte en capital. C’est la définition la plus stricte et la plus intuitive pour l’épargnant.

Un placement garanti en capital assure que :

  • Le capital initial est intégralement protégé.
  • L’épargnant récupère au minimum la somme investie.
  • La garantie est contractuelle et juridiquement encadrée, généralement par l’État ou par un établissement bancaire régulé.

C’est cette absence totale de volatilité sur le capital initial qui caractérise véritablement un placement d’argent sans risque au sens strict.

Il faut cependant distinguer deux formes de garantie :

  • La garantie en capital à tout moment, qui couvre l’épargnant quelle que soit la date de retrait.
  • La garantie en capital uniquement à l’échéance, qui ne protège que si l’investissement est conservé jusqu’au terme prévu.

Cette nuance est essentielle car de nombreux produits perçus comme sécurisés ne le sont qu’à condition de respecter une durée déterminée. Un placement réellement “sans risque” au sens strict ne concerne donc qu’un nombre très limité de produits.

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*Performance du livret et CAT garantie à fin décembre 2025, ces rendements sont susceptibles d'évoluer dans le futur. Le rendement des assurances-vie monosupport est toujours connu l'année suivante.

Le risque de liquidité

Un placement peut être sécurisé en capital mais indisponible pendant une certaine période.

C’est le risque de liquidité, qui traduit la difficulté à récupérer rapidement les fonds sans pénalités ni pertes.

Certains produits financiers présentent un risque de liquidité élevé :

  • Comptes à terme, dont les retraits anticipés sont, dans certains cas, impossibles.
  • Obligations détenues en direct, dont la valeur peut baisser en cas de revente avant maturité lorsque les taux montent.
  • Certains produits à horizon ou supports d’assurance vie plus contraints en matière d’arbitrage.

Il est donc indispensable de distinguer :

  • La sécurité du capital, qui dépend de la nature du produit.
  • La disponibilité de l’épargne, qui dépend de la possibilité de sortie.

Un placement peut être sûr mais difficilement mobilisable. Pour un épargnant ayant besoin de flexibilité, cette contrainte devient un risque à part entière.

Le risque de pouvoir d’achat

La sécurité nominale d’un placement financier ne protège pas contre la perte de valeur réelle. En période d’inflation, le pouvoir d’achat de l’épargne peut s’éroder même si le capital est garanti.

Le mécanisme est simple :

  • Vous récupérez la même somme nominale, mais elle permet d’acheter moins si les prix ont augmenté plus vite que votre rendement.
  • Le rendement réel devient négatif lorsque l’inflation dépasse le rendement du placement.

Ce risque concerne notamment :

  • Le livret A lorsque son taux est inférieur à l’inflation.
  • Les comptes courants, dont le rendement est nul.
  • Les comptes à terme à taux fixe, qui peuvent s’avérer peu attractifs si les prix progressent rapidement.

Dans un contexte où l’inflation reste élevée, ce risque de pouvoir d’achat devient déterminant. Il faut donc distinguer la valeur nominale du capital, affichée sur le contrat, de sa valeur réelle, qui correspond à ce que l’argent permet effectivement de financer.

Le mythe du placement sans risque qui rapporte

Beaucoup d’épargnants espèrent trouver un placement sans risque qui rapporte vraiment, mais un produit cumulant sécurité totale, liquidité immédiate et rendement élevé n’existe pas.

Certains épargnants imaginent également qu’il existe un placement en bourse sans risque, mais tout investissement coté implique par définition une part de volatilité.

La logique financière est simple : plus le risque est faible, plus le rendement est faible.

Cela conduit à une réalité incontournable :

  • Un placement garanti et accessible à tout moment offre un rendement limité.
  • Un placement garanti mais bloqué peut offrir un rendement un peu supérieur.
  • Un placement à rendement élevé implique nécessairement une forme de risque.

Cette confusion alimente de nombreuses déceptions, voire expose aux arnaques promettant des rendements garantis irréalistes.

Il est également essentiel de distinguer la garantie du capital et le niveau de rendement servi.

Les placements sans risque, comme les fonds euros, le Livret A ou les livrets bancaires, protègent l’épargne contre toute perte, mais ne garantissent jamais un taux de rendement dans le temps.

Leur rémunération dépend du contexte économique et monétaire. Le rendement peut évoluer à la hausse ou à la baisse, sans jamais devenir négatif, mais sans visibilité à long terme pour l’épargnant.

Quelques exemples illustrent cette variabilité :

  • Le Livret A a servi un rendement compris entre 0,5 % et 4 % entre 2015 et 2024, en fonction des décisions des pouvoirs publics.
  • Les fonds euros ont affiché un rendement moyen oscillant entre 1,28 % et 2,6 % sur la période 2015–2024, selon l’environnement de taux et les choix des assureurs.

De manière générale, le rendement des placements sans risque est étroitement lié au niveau des taux d’intérêt fixé par les banques centrales. Il correspond au taux de rendement sans risque, qui sert de référence à l’ensemble des acteurs financiers.

Un placement sans risque protège donc le capital, mais jamais le rendement, ce qui impose de raisonner en termes d’objectifs, d’horizon et de stratégie globale plutôt qu’en recherchant un taux figé dans le temps.

Les meilleurs placements financiers sans risque

Ces placements offrent une sécurité totale du capital tout en restant accessibles à tout moment. Ils constituent le socle de l’épargne de précaution et représentent le placement sans risque court terme par excellence pour gérer le cash disponible.

Livret A, LDDS, LEP

Les livrets réglementés sont les solutions d’épargne les plus simples pour placer une épargne totalement sécurisée. Ils cumulent garantie intégrale, liquidité immédiate et exonération fiscale.

Ils répondent chacun à un usage précis :

  • Livret A : épargne de précaution pour tous, avec un plafond intermédiaire.
  • Livret de développement durable et solidaire (LDDS) : complément naturel du Livret A une fois celui-ci rempli.
  • Livret d’épargne populaire (LEP) : produit le plus rémunérateur, réservé aux foyers éligibles, à privilégier en priorité.

L’ordre logique pour optimiser sa trésorerie liquide est donc :

  • LEP en premier, pour ceux qui y ont droit car c’est le meilleur rendement garanti du marché.
  • Livret A ensuite, pour compléter l’enveloppe sécurisée.
  • LDDS en dernier, lorsque les deux premiers plafonds sont atteints (en fonction de vos besoins en épargne de précaution).

La seule limite de ces produits reste leur plafond, qui restreint leur intérêt pour les patrimoines plus élevés ou pour une trésorerie importante.

Les intérêts perçus via ces 3 livrets sont toujours nets d’impôt, contrairement aux autres solutions (fonds euros, CAT, livret bancaire …) qui sont soumis au PFU. 

En l’absence de contraintes de plafond, le rendement brut du livret A (ou LDDS, LEP) doit donc se comparer au rendement net d’impôt de placements alternatifs, et pas au rendement brut affiché.

Exemple : en décembre 2025 le livret A rapporte 1,7 % par an et le PFU est de 30 %. Le livret A vous rapporte donc plus, net d’impôt, que tout livret bancaire ou fonds euros avec un rendement inférieur à 2,43 % par an.

À lire aussi : 

Livrets bancaires

Les livrets d’épargne bancaires non réglementés fonctionnent comme les livrets réglementés (livret A, LDDS…) mais avec une rémunération librement fixée par la banque. Le capital est totalement sécurisé, car couvert par la réglementation bancaire et le fonds de garantie des dépôts (FGDR) dans sa limite habituelle.

Caractéristiques principales :

  • Taux variables, souvent rehaussés lors d’offres promotionnelles.
  • Fiscalité standard, via le prélèvement forfaitaire unique (PFU ou flat tax) ou le barème progressif de l’impôt sur le revenu.
  • Liquidité totale, sans contraintes spécifiques.

Ils deviennent intéressants dans deux cas :

  • Périodes promotionnelles, où leur taux dépasse celui des livrets réglementés sur quelques mois.
  • Plafonds de versement réglementés atteints, lorsque le Livret A, le LDDS ou le LEP ne peuvent plus accueillir d’épargne supplémentaire.

Ce sont donc des outils utiles pour optimiser une poche de liquidités au-delà des plafonds défiscalisés.

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*Performance du livret et CAT garantie à fin décembre 2025, ces rendements sont susceptibles d'évoluer dans le futur.

Fonds euros

Les fonds euros restent un pilier des placements sécurisés à moyen terme. Ils offrent une garantie intégrale du capital, une sécurisation annuelle des intérêts et un rendement qui dépend principalement des actifs détenus par l’assureur.

Pour comprendre leur fonctionnement, il est essentiel de distinguer les éléments suivants :

  • La garantie du capital, assurée par l’assureur au sein du contrat d’assurance vie.
  • Les fonds euros ont affiché un rendement moyen oscillant entre 1,28 % et 2,6 % sur la période 2015-2024.
  • L’effet cliquet, qui rend chaque intérêt définitivement acquis.

Ces avantages s’accompagnent de contraintes propres à l’assurance vie, notamment l’obligation éventuelle d’investir une part en unités de compte ou des délais de traitement lors des rachats.

Il faut aussi savoir que le taux de rendement des fonds euros n’est pas connu à l’avance : il est annoncé au début de l’année suivante (ex : le rendement des fonds euros pour 2025 sera annoncé début 2026).

Le fonds euros constitue un support adapté lorsque  l’épargnant recherche une sécurité élevée sans renoncer totalement au rendement, une absence de plafonds et éventuellement les avantages spécifiques de l’assurance-vie en vue de la transmission de son patrimoine.

Comptes courants rémunérés

En 2026, plusieurs banques remettent en avant les comptes courants rémunérés pour attirer les dépôts. Leur avantage principal est de rémunérer l’argent non investi, directement sur le compte courant.

Leur fonctionnement repose sur :

  • Une rémunération modérée, sans blocage ni délai.
  • Une garantie totale, car il s’agit d’un compte bancaire classique.
  • L’absence de plafond de versement, même si certaines offres limitent la rémunération à un montant donné.

Ils sont pertinents dans des situations spécifiques :

  • Pour les personnes qui conservent beaucoup de liquidités en circulation.
  • Pour les indépendants ou professionnels ayant des flux importants sur leur compte.
  • Pour optimiser la trésorerie lorsque tous les livrets réglementés ont déjà atteint leur plafond de versement.

Leur rendement reste toutefois inférieur à celui des livrets réglementés, ce qui les positionne comme une solution d’épargne d’appoint plutôt qu’un produit d’épargne principal.

Plan d’épargne logement (PEL)

Le Plan d’épargne logement (PEL) reste un placement sécurisé, mais son usage en 2026 est devenu plus spécifique. Le capital est totalement garanti, le taux est fixé à l’ouverture et la rémunération est stable dans le temps.

Le PEL est pertinent lorsque l’on envisage un projet immobilier, le PEL permettant d'accéder à un prêt dédié, même si cet avantage est aujourd’hui moins décisif qu’auparavant.

Il faut toutefois garder en tête plusieurs limites : le PEL est bloqué durant 4 ans, il est plafonné et sa rémunération devient imposable après 12 ans, ce qui réduit son attractivité comme placement de trésorerie pure.

Le taux du PEL est fixé à 2 % pour les comptes ouverts à partir du 1er janvier 2026.

À lire aussi : Plafond PEL : montant maximum, que faire quand on l'atteint ou s'il a + de 10 ans (et les erreurs à éviter)

Compte d’épargne logement (CEL)

Le Compte d’épargne logement (CEL) est plus flexible que le PEL. Il offre une liquidité totale, une garantie du capital et un taux réglementé qui évolue avec les conditions de marché.

Son intérêt principal réside dans :

  • Une utilisation comme solution complémentaire d’épargne courte ou moyenne, lorsque les livrets réglementés atteignent leur plafond.
  • La possibilité d’obtenir un petit prêt immobilier bonifié, même si, là encore, cet avantage est secondaire pour la plupart des épargnants.

Le CEL reste une solution sûre et simple, mais son rendement modeste fait qu’il est rarement prioritaire par rapport au Livret A, LDDS ou LEP.

Le taux du CEL depuis le 1ᵉʳ août 2025 est de 1,25 %.

À lire aussi : Plafond CEL : montant maximum et que faire une fois atteint ?

Comptes à terme

Les comptes à terme (CAT) sont conçus pour sécuriser une somme d’argent à taux fixe sur une durée déterminée. Le capital est entièrement garanti, mais un retrait avant l’échéance se traduit le plus souvent par une réduction, voire une perte, des intérêts.

Ils reposent sur plusieurs principes :

  • Un taux connu à l’avance, qui permet d’anticiper précisément le rendement final.
  • Une durée de placement définie, souvent comprise entre 1 et 5 ans.
  • Une indisponibilité du capital, avec pénalités ou perte d’intérêt en cas de retrait anticipé.

En pratique, leur rémunération est supérieure à celle d’un livret bancaire imposable, mais souvent inférieure à celle du Livret A ou du LDDS, sauf en période d’inflation où les rendements nets peuvent être proches.

Leur principal atout réside dans l’absence de plafond contraignant. Contrairement au Livret A (22 950 €) ou au LDDS (12 000 €), les comptes à terme permettent souvent de placer des montants beaucoup plus élevés, ce qui en fait une solution pertinente pour rémunérer une trésorerie importante sans risque.

Ils sont particulièrement adaptés aux projets datés, pour lesquels la visibilité et la prévisibilité du rendement priment sur la liquidité.

Les placements à faible risque mais non garantis

Ces placements ne garantissent pas le capital, mais leur volatilité reste limitée et leur performance potentielle est souvent supérieure à celle des supports garantis, surtout sur plusieurs années.

Ils constituent une alternative pour les investisseurs qui souhaitent dynamiser le rendement de leurs placements, sans s’exposer à un risque important.

Entre sécurité et rendement : et si la solution était les revenus réguliers ?

Vous cherchez mieux que les livrets sans prendre les risques de la bourse ? Il existe une voie intermédiaire : construire un portefeuille basé majoritairement sur l'immobilier et les obligations, qui génère des revenus réguliers et stables.

Par exemple, notre gestion pilotée Flagship pour un profil prudent (risque 3/10)* a généré un rendement de +4,09 % en moyenne de 2016 à 2025, avec +8,6 % en 2024 et +8,45 % en 2023.

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*Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Ce portefeuille comporte un risque de perte en capital.

Fonds monétaires

Les fonds monétaires investissent dans des titres très courts, majoritairement émis par des États ou des institutions financières solides. Leur objectif est de suivre les taux d’intérêt de court terme, avec une volatilité extrêmement faible.

Ils constituent une alternative pertinente pour un placement sans risque court terme, avec une volatilité minimale et une valorisation très stable.

Bien qu’ils ne proposent pas de garantie en capital stricte, le risque de perte en capital sur les fonds monétaires est quasi-nul (niveau de risque standardisé de 1/7).

Ils sont pertinents pour :

  • Placer une trésorerie de court terme, avec une volatilité très faible et une visibilité sur le rendement attendu
  • Profiter rapidement des hausses de taux, car leur rendement s’ajuste presque en temps réel.
  • Servir d’outil de transition avant un investissement plus long.

Les fonds monétaires sont généralement le placement le moins risqué pour placer sa trésorerie dans le cadre d’une enveloppe d’investissement comme un PEA ou un CTO.

En période de remontée des taux, les fonds monétaires s’ajustent plus rapidement au nouveau taux de référence que des fonds euros. Il peut alors s’ouvrir des fenêtres d’opportunités où le rendement des fonds monétaires est supérieur à celui des fonds euros sur une durée donnée, pour un niveau de risque similaire.

Comparaison des rendements moyens des fonds monétaires (2021–2025) :

Comparaison des rendements (2021–2025)

Source : Banque de France

Obligations court terme et investment grade

Les obligations court terme investment grade combinent une faible sensibilité aux taux et un risque de crédit réduit, ce qui en fait une option intermédiaire entre fonds monétaires et fonds euros.

Elles sont adaptées lorsque :

  • Les taux se stabilisent, car la visibilité sur les rendements obligataires augmente.
  • L’épargnant recherche un rendement supérieur à celui du monétaire tout en acceptant une volatilité limitée.
  • L’horizon se situe entre 1 et 3 ans.

Le niveau de risque sur ces fonds est souvent de 2/7.

Fonds diversifiés prudents

Les fonds diversifiés prudents répartissent le capital entre obligations, monétaire et une faible exposition aux actions. Cette allocation vise à améliorer le potentiel de performance tout en maîtrisant le risque.

Ils sont utiles pour :

  • Chercher une performance légèrement supérieure à celle des placements obligataires seuls.
  • Profiter d’une dynamique de marché modérée, grâce à une poche actions réduite mais contributive.
  • Investir avec un horizon de 2 à 5 ans sans prendre une volatilité excessive.

On observe un rendement de +6,8 % en 2023 grâce au rebond des marchés. Depuis 2015, le rendement annualisé moyen se situe autour de 1,1 %.

Source : Banque de France

SCPI core

Les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) core investissent dans de l’immobilier d’entreprise de qualité, avec des locataires solides et des emplacements sécurisés. Elles ne garantissent pas le capital, mais leur stratégie vise la stabilité des revenus et une volatilité modérée à long terme.

Leur niveau de risque est généralement évalué à 3/7.

Elles trouvent leur utilité dans :

  • Une stratégie patrimoniale prudente cherchant un revenu potentiel régulier.
  • Une diversification hors marchés financiers.
  • Un horizon long, car la liquidité n’est jamais immédiate et la valeur peut fluctuer.

Par rapport aux placements précédents, les SCPI présentent plusieurs risques : 

  • La présence de frais d’entrée de l’ordre de 10 % (pas sur toutes les SCPI) qui ont besoin de plusieurs années pour être amortis.
  • Un risque d’évolution à la baisse du rendement dans le futur, notamment en cas de difficulté à louer le patrimoine immobilier.
  • Un risque de liquidité avec une impossibilité de céder ses parts pendant plusieurs mois, voire plusieurs années en cas de baisse de la collecte.
  • Un risque de perte en capital en cas de dévalorisation du patrimoine immobilier.

Certaines SCPI sur le marché présentent un historique de performance très rassurant avec un prix de part stable ou en hausse depuis 15 ans ou même 30 ans et un dividende relativement stable.

À l’inverse, le marché des SCPI a aussi connu plusieurs phases de crise qui ont mis en difficulté certaines sociétés de gestion. À titre d’illustration, depuis 2022 certaines des plus importantes SCPI du marché (en termes de capitalisation) ont annoncé des baisses de prix de parts de l’ordre de -10, -20 % et jusqu’à -44 % dans un contexte de hausse des taux.

Sur la même période, d’autres SCPI se distinguaient avec un prix de part en hausse et un taux de distribution supérieur à 7 %.

Les SCPI peuvent donc constituer une source de rendement stable et attractive à long terme, mais ce marché est bien plus hétérogène que les placements évoqués précédemment.

Produits structurés défensifs

Les produits d’épargne structurés peuvent offrir une protection conditionnelle du capital, généralement liée à la performance d’un indice sous-jacent. Ils visent un rendement attractif tout en limitant l’exposition aux baisses de marché.

Ces produits structurés dits défensifs peuvent offrir un niveau de risque mesuré autour de 2/7 sur l’échelle SRI. Il existe de nombreux autres produits structurés dont le niveau de risque peut être bien plus élevé. Nous faisons référence ici uniquement aux produits structurés les plus défensifs.

Ils deviennent pertinents lorsque :

  • L’épargnant accepte une protection non garantie mais robuste tant que l’indice ne franchit pas un seuil défini.
  • L’objectif est d’obtenir un rendement potentiel supérieur aux placements sécurisés.
  • L’horizon est de 1 à 8 ans, avec une bonne tolérance aux mécanismes spécifiques des structurés.

Un produit structuré est un placement plus complexe que les alternatives évoquées plus haut, il est important de bien comprendre les différentes caractéristiques du produit avant d’investir : 

  • Nature de l’indice sous-jacent (indice réel ou synthétique, présence d’un décrément), mécanisme d’autocall…
  • La durée de détention d’un produit structuré est généralement à la main de l’émetteur. Vous pouvez être investi 1 an ou 10 ans sans possibilité de sortie.
  • La protection du capital est souvent accordée uniquement à l’échéance : vous n’avez pas la possibilité de sortir sans perte pour arbitrer vers un autre placement si vous vous rendez compte que la performance n’est pas au rendez-vous au bout de plusieurs années.
  • Le rendement affiché d’un produit structuré est celui d’un coupon annuel. Il n’y a pas de mécanisme d’intérêt composé sur les produits structurés. Il faut identifier le rendement actuariel réel du produit dans sa documentation pour le comparer à d’autres placements.

Tableau comparatif des meilleurs placements sans risques ou à faible risque

Placement Garantie du capital Liquidité Rendement Fiscalité Horizon recommandé Usage principal
Livret A Totale (État) Immédiate 1,7 % en déc. 2025 Net d'impôt Court terme Épargne de précaution
LDDS Totale (État) Immédiate 1,7 % (identique au Livret A) Net d'impôt Court terme Complément du Livret A
LEP Totale (État) Immédiate Supérieur au Livret A (si éligible) Net d'impôt Court terme Prioritaire pour foyers modestes
Livret bancaire Totale (FGDR 100 000 €) Immédiate Variable, souvent < livrets réglementés hors promos PFU 30 % ou barème Court terme Trésorerie au-delà des plafonds
Compte courant rémunéré Totale Immédiate Faible, souvent < livrets PFU 30 % ou barème Très court terme Cash en transit
Fonds euros Totale (assureur) Bonne (rachats possibles) 1,28 % à 2,6 % (2015–2024) Dépend de l'enveloppe utilisée 2 à 8 ans Sécurisation du capital
Compte à terme (CAT) Totale à l'échéance Limitée (pénalité si sortie) Supérieur aux livrets bancaires imposables ; parfois proche Livret A net PFU 30 % 1 à 5 ans Projets datés, trésorerie importante
PEL Totale Faible (blocage 4 ans) 1,75 % (ouvertures depuis 01/2025) IR + PS après 12 ans Moyen terme Projet immobilier
CEL Totale Immédiate 1,25 % (depuis 08/2025) IR + prélèvements sociaux Court / moyen terme Complément aux livrets
Fonds monétaires Non (quasi) Très bonne Environ 3 % en 2025 Dépend de l'enveloppe utilisée Court terme Trésorerie investie
Obligations court terme / IG Non Bonne Supérieur au monétaire Dépend de l'enveloppe utilisée 1 à 3 ans Rendement prudent
Fonds diversifiés prudents Non Bonne ≈ 1,1 % annualisé depuis 2015 Dépend de l'enveloppe utilisée 2 à 5 ans Légère poche actions
SCPI core Non Faible Variable ; dépend du marché Dépend de l'enveloppe utilisée > 8 ans Revenus et diversification
Produits structurés défensifs Protection conditionnelle Faible Coupon conditionnel Dépend de l'enveloppe utilisée 1 à 8 ans Rendement encadré

Comment structurer une stratégie d’épargne sécurisée

Une épargne sécurisée se construit par étapes : d’abord couvrir les imprévus, ensuite préparer les projets à moyen terme, enfin organiser une épargne de long terme prudente. Les produits viennent seulement après, au service de ces objectifs.

Construire un matelas de sécurité

Le point de départ, c’est un matelas de sécurité qui permet de faire face aux imprévus sans avoir à vendre dans l’urgence des placements moins liquides ou plus risqués.

L’objectif est de conserver entre 3 et 6 mois de dépenses courantes sur des supports totalement garantis et immédiatement disponibles. Pour un budget de 2 000 euros par mois, cela représente entre 6 000 et 12 000 euros d’épargne de précaution.

Les supports généralement adaptés sont :

  • Les livrets réglementés (Livret A, LDDS, LEP), qui offrent garantie du capital, disponibilité immédiate et exonération fiscale.
  • En complément, les livrets bancaires lorsque les plafonds réglementés sont déjà atteints.

Une réserve proche de 3 mois convient plutôt à une situation professionnelle stable (salarié en CDI, double revenu). Une réserve de 6 mois ou plus est plus adaptée pour un indépendant, un foyer dépendant d’un seul revenu ou une personne exposée à un risque de chômage plus élevé.

Tant que ce matelas n’est pas constitué, la priorité reste d’orienter l’épargne vers ces supports très liquides, même si leur rendement est limité.

Optimisez vos rendements sans compromettre la sécurité

Notre stratégie Elite a généré +4,82 % par an en moyenne de 2021 à 2025 avec un profil de risque limité à 2/10.

Comment ? En combinant immobilier et dette privée, deux classes d'actifs qui offrent un meilleur rapport rendement/risque que les placements traditionnels.

Votre portefeuille s'adapte automatiquement à vos projets grâce à la sécurisation progressive : plus vous approchez de votre objectif (achat immobilier, retraite, études), plus votre capital est protégé.

Financer des projets à 2 à 5 ans

Une fois l’épargne de précaution en place, vient la couche dédiée aux projets à moyen terme : travaux, apport immobilier, changement de voiture, études à financer, etc.

Sur cette poche, le capital doit être préservé et le risque de marché très limité, mais la liquidité peut être légèrement réduite, puisque l’horizon est compris entre 2 et 5 ans.

Selon la visibilité sur la date du projet, plusieurs options se distinguent :

  • Pour un projet avec date bien définie (par exemple travaux dans 3 ans), les comptes à terme permettent de fixer un taux garanti en échange d’un blocage du capital jusqu’à l’échéance.
  • Pour un projet avec un horizon moins précis, les fonds euros en assurance vie offrent une garantie du capital avec un rendement souvent supérieur aux livrets, tout en restant accessibles via des rachats (avec un délai de traitement).
  • Sur un horizon proche de 8 ans, l’assurance vie permet de combiner fonds euros et, éventuellement, une très petite part de supports prudents, tout en bénéficiant d’un cadre fiscal plus favorable à terme.

L’idée n’est pas de chercher un rendement élevé, mais d’avoir une épargne orientée vers une date, peu volatile et prévisible, pour ne pas dépendre de l’état des marchés au moment où le projet se concrétise.

Structurer une épargne de long terme prudente

Au-delà des projets identifiés, il reste l’épargne destinée au long terme : complément de retraite, transmission, constitution progressive d’un capital. Même avec un profil prudent, il est possible d’améliorer le rendement en acceptant une volatilité mesurée.

Cette épargne de long terme prudente repose généralement sur une combinaison de :

  • Supports très peu risqués (fonds euros, fonds monétaires, obligations de bonne qualité) pour limiter les variations à court terme.
  • Supports faiblement risqués mais non garantis (obligations investment grade, fonds diversifiés prudents, SCPI core, produits structurés défensifs) pour rehausser le rendement potentiel.

L’objectif est de :

  • Ne pas rester exclusivement sur des produits garantis au rendement souvent inférieur à l’inflation sur de longues périodes.
  • Lisser la performance dans le temps grâce à des actifs dont le couple rendement/risque est plus attractif sur 5 à 10 ans.
  • Adapter la part de supports faiblement risqués à son profil de risque et à sa capacité à supporter des fluctuations temporaires.

Une stratégie réellement sécurisée ne signifie donc pas “tout en cash” ou uniquement fonds euros, mais une épargne stratifiée : liquide pour les imprévus, très stable pour les projets datés, et prudente mais un peu plus rémunératrice pour le long terme.

Pour aller plus loin : Comment répartir et diversifier son épargne ?

Dans quelles situations envisager des placements plus dynamiques ?

Même si vous privilégiez un faible niveau de risque pour votre patrimoine, les placements dynamiques peuvent être pertinents lorsque certaines conditions sont réunies. Ils ne remplacent jamais la sécurité de base, mais viennent la compléter pour améliorer le rendement global du patrimoine.

Lorsque la base de sécurité est constituée

Un investisseur peut envisager des placements plus dynamiques lorsque son épargne de précaution est déjà en place, c’est-à-dire 3 à 6 mois de dépenses placés sur des supports totalement liquides et garantis.

Plusieurs éléments renforcent ensuite la capacité à accepter du risque :

  • Revenus stables ou prévisibles.
  • Patrimoine déjà constitué, apportant une marge de manœuvre.
  • Endettement maîtrisé, qui limite le risque de devoir liquider un investissement trop tôt.

Disposer d’un capital non nécessaire à court terme (prime, bonus, héritage, indemnité) ouvre également la possibilité d’intégrer une poche plus dynamique, car ce capital peut être investi avec un horizon plus long.

Lorsque l’horizon d’investissement permet d’accepter la volatilité

La volatilité devient moins problématique lorsque l’horizon est long. Sur 8 à 10 ans ou plus, les fluctuations annuelles ont tendance à se lisser, et la probabilité de perte en capital diminue fortement.

Cela ne transforme pas la Bourse en placement sans risque, mais un horizon long réduit suffisamment l’incertitude pour rendre ces investissements pertinents.

Les placements dynamiques deviennent alors adaptés pour :

  • Préparer la retraite.
  • Constituer un capital de long terme.
  • Planifier une transmission ou un projet éloigné.

Avec un horizon suffisamment long, l’investisseur traverse plusieurs cycles de marché, et les éventuelles périodes de baisse sont largement compensées par les périodes de hausse. Subir par exemple 1 ou 2 années de perte sur 10 devient donc acceptable au regard du résultat global.

Lorsque les placements sécurisés ne protègent plus le pouvoir d’achat

Lorsque l’inflation dépasse le rendement des placements financiers sécurisés, le capital perd progressivement de sa valeur réelle. C’est ce que l’on appelle l’érosion du pouvoir d’achat.

Dans ce contexte, une poche dynamique devient parfois nécessaire non pour “chercher du rendement”, mais pour maintenir le capital en termes réels. Ce point est crucial lorsque :

  • Les livrets réglementés offrent un rendement inférieur à l’inflation.
  • Les fonds euros ou comptes à terme affichent un taux net insuffisant pour compenser la hausse des prix.

La décision doit alors se baser sur le rendement réel, c’est-à-dire rendement nominal moins inflation, et non sur le simple taux affiché.

Lorsque le coût d’opportunité devient significatif sur le long terme

Se limiter exclusivement à des placements sans risque n’est pas une erreur en soi, surtout pour un épargnant très averse à la volatilité. Un portefeuille composé de livrets réglementés et de fonds euros peut parfaitement répondre à un besoin de sécurité maximale.

En revanche, sur un horizon de long terme, ce choix comporte un coût d’opportunité qu’il est important de comprendre. Lorsque l’épargne est investie pendant 10, 15 ou 20 ans, même un écart de rendement modéré, de l’ordre de 1 à 2 points par an, peut produire des différences très significatives dans le temps.

Grâce aux intérêts composés, ces écarts s’accumulent progressivement et peuvent représenter, à effort d’épargne identique :

  • Plusieurs dizaines de milliers d’euros supplémentaires à l’approche de la retraite.
  • Un capital transmis plus élevé aux enfants.
  • Un complément de revenus plus confortable sur le long terme.

Accepter une volatilité temporaire, lorsque l’horizon est suffisamment long et que la base de sécurité est déjà constituée, permet souvent de compenser les périodes de baisse par des phases de rattrapage.

C’est cette capacité à laisser le temps jouer en sa faveur qui rend une poche dynamique pertinente, non par obligation, mais par choix éclairé.

À l’inverse, se limiter par principe aux placements sans risque sur des horizons très longs revient à accepter une performance structurellement plus faible, avec des conséquences durables sur la constitution du patrimoine.

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Il est légitime d'avoir peur de perdre de l'argent. Mais il existe des stratégies éprouvées utilisées notamment par les banques ou les assurances pour faire fructifier son argent à long terme avec peu de variations d'une année sur l'autre.

Vous pouvez découvrir ces solutions en autonomie à travers nos simulateurs d'investissement ou faire appel gratuitement à l'un de nos conseillers privés qui analysera votre situation et pourra vous proposer une solution encore plus personnalisée.

Vous pourrez ensuite la mettre en œuvre via Ramify ou la plateforme de votre choix.

Conclusion

Les placements financiers sans risque forment la base de toute stratégie prudente, car ils permettent de sécuriser durablement son capital et de gérer intelligemment son épargne de précaution.

Les livrets réglementés offrent généralement le meilleur rendement net d’impôt, tandis que les fonds euros, livrets bancaires et comptes à terme permettent de dépasser les limites de plafonds imposées. Ils peuvent aussi offrir, selon les périodes, de meilleurs rendements nets d’impôt.

Dès que l’objectif s’étend au-delà de quelques années, les placements faiblement risqués mais non garantis deviennent utiles pour améliorer le rendement sans prendre de risques excessifs.

Une stratégie sécurisée repose sur une progression claire : matelas de précaution, épargne dédiée aux projets, puis poche prudente de long terme. Cette organisation permet de sécuriser le quotidien tout en évitant l’érosion du capital.

Par nature, les placements sans risque offrent un rendement limité. Sur un horizon de temps long, se limiter par principe à cet univers d’investissement entraîne souvent un important coût d’opportunité. A effort d’épargne équivalent, un portefeuille exposé pour partie à des actifs risqués vous permet d’atteindre plus rapidement vos objectifs financiers. 

Au final, il n’existe pas un placement bancaire sans risque idéal, mais une combinaison cohérente de solutions alignées avec vos objectifs, votre horizon et votre tolérance au risque. Cette approche structurée reste la meilleure manière de protéger et de faire croître votre épargne dans la durée.

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